Il y a deux sortes de pureté :
$1- La pureté du corps
$1- La pureté du sol et des vêtements
Ces deux sortes ne sont valables qu’obtenues par l’eau pure et purificatrice, qui n’a subi aucune altération dans sa couleur, son goût ou son odeur, qui n’a été souillée de matière étrangère telle l’huile, le beurre fondu, un corps gras quelconque, le suint, le savon ou autre impureté … A l’inverse, il n’y a pas à tenir compte de la terre, de la vase, ou si cette eau provient de terrains salés, ou si elle contient de la mousse ou autre corps analogue.
Au cas de souillure manifeste, l’endroit souillé doit être lavé, mais s’il n’est pas connu d’une façon certaine c’est tout le vêtement qui doit être purifié.
Celui qui pense que la souillure a pu toucher son vêtement doit l’asperger d’eau, si le doute porte sur la pureté de la matière qu’il a atteint il n’y a pas lieu à l’aspersion … Celui qui se souvient d’une souillure alors qu’il est en prière doit l’interrompre sauf s’il craint de dépasser le délai imparti pour
prier.
S’il se souvient de l’impureté après la fin de la prière, il doit à l’instant même la recommencer.